Voir les oeuvres + Saeys Isidore
(1)
0
peintre de paysages, de natures mortes, d'intérieur.
Voir les oeuvres + Salkin Emile
(1)
né en 1900 à Saint-Gilles - mort en 1977 à Cotignac/France
Peintre, dessinateur, graveur et auteur de cartons de tapisseries. Après avoir travaillé sous la tutelle de F. Schirren, part à Paris en 1921 étudier auprès de C. Rossi et B. Naudin. Enseignant aux académies d'Anderlecht (dont il est également directeur), de Namur et de Tournai, ainsi qu'à La Cambre (E.N.S.A.V.). La première période (1928-1945) de son œuvre est celle du fauvisme figuratif suivi d'une tendance au surréalisme. De 1947 à 1955, la période espagnole voit les thèmes des taureaux, corridas et figures féminines traités dans des tons très vifs. Vient alors la période "des circulations", de 1956 à 1960, autour du thème du trafic automobile. La période de 1961 à 1965 est une période dite non-objective tendant à l'expressionnisme. Le retour au figuratif aura lieu en 1966 avec la période "des camions" qui, dans les années septante, sera prétexte à une vision géométrisée et tendant à l'abstraction. Réalise plusieurs fresques dont une pour la chapelle d'Estaimbourg en 1954.
Voir les oeuvres + Salkin Fernand
(1)
né en 1862 à Montélimar - mort en 1937 à Marseille
Peintre, militaire
Voir les oeuvres + Salkin - Lambiotte Maria
(1)
né durant début 20ème0
Peintre, Dessinatrice
Voir les oeuvres + Sardou Honoré Charles
(1)
né en 1806 à Aix-en-Provence - mort en 1872
Peintre de portraits, pastelliste.
Voir les oeuvres + Sauer Walter
(1)
né en 1889 à Forest - mort en 1927 à Alger:Algérie
Peintre et dessinateur de femmes fatales, de nus et de maternités. Etudie à l'académie de Bruxelles. Expose "L'Atlantide" (salon triennal, Bruxelles, 1914). Influence de l'idéalisme. Marqué par V. Rousseau et l'estampe japonaise. Son œuvre est très graphique, ses lignes expressives. En des dessins rehaussés, il évoque, d'un trait acéré, des femmes hiératiques ou lascives : "L'Idole stérile", "Le Baiser de Salomé". Illustre la "Symphonie macabre" de Limbosch. Rétrospectives à Bruxelles : Waux-Hall (1928), L'Ecuyer (1975).
Voir les oeuvres + Sauvenière Jules
(1)
né en 1855 - mort en 1920
Peintre de paysages, il expose au cercle royal des beaux-arts de Liège de 1893 à 1909.
Voir les oeuvres + Scauflaire Edgard
(3)
né en 1893 à Liège - mort en 1960 à Liège
Peintre et dessinateur. Elève de A. de Witte à l'académie des beaux-arts de Liège, grand amateur de musique, journaliste. Membre fondateur du groupe de L'Art vivant au Pays de Liège vers 1930 et de la section des beaux-arts de l'Association pour le progrès intellectuel et artistique de la Wallonie (A.P.I.A.W.) en 1945. Membre de Sélection, Scauflaire a une prédilection pour la nature morte (objets quotidiens : tables, guéridons) et les clowns et arlequins, exécutés en perspective plate, en sous-teintes. Dans cette transcription personnelle de la réalité, transparaît l'influence de G. Braque, dans un cubisme assagi. En 1958, la ville de Liège lui consacre une grande rétrospective, ainsi qu'en 1994 à la Société Générale de Banque.
Voir les oeuvres + Schaar Monique
(2)
né en 1939 à Bruxelles
Peintre, créatice d'affiche, illustratrice. Style naif
Voir les oeuvres + Schakewits Jozef
(1)
né en 1848 à Meise - mort en 1913 à Strombeek-Bevert
Peintre
Voir les oeuvres + Scheuren Caspar
(1)
né en 1810 à Aix-la -chapelle - mort en 1887 à Dusseldorf
Peintre, ilustrateur
Voir les oeuvres + Schirren Ferdinand
(1)
né en 1872 à Anvers - mort en 1944 à Molenbeek-Saint-Jean
Peintre et sculpteur. Né de parents originaires de Riga (Lettonie), le jeune Schirren trouve à Bruxelles matières à alimenter sa curiosité artistique. Il s'initie à la sculpture auprès de J. Lambeaux à l'académie de Bruxelles et s'oriente vers une synthèse du volume réaliste qui, dans le portrait de la théosophe "Madame Blavatsky" (coll. priv.), se ressent d'une découpe précubiste. Une crise morale est à l'origine de son orientation vers la peinture. L'aquarelle le requiert particulièrement jusqu'à la Première Guerre mondiale. Il fut sans doute en Belgique le premier à saisir les possibilités inédites que procurait la simplification expressive de la forme et de la couleur (premières aquarelles fauves de 1906). L'immédiate maturité de son fauvisme guida les Brabançons, et notamment R. Wouters à ses débuts. En 1912, trois expositions personnelles le situent parmi les jeunes maîtres belges. Au cours de la guerre 1914-1918, il réalise ses premières toiles fauves par un coup de brosse velouté, il évite la fragmentation des tons et assure à la couleur tout son pouvoir expressif par d'audacieux contrastes. Comme la plupart de ses compagnons brabançons, il s'éprend vers 1918 de formes plus construites et il atténue la hauteur des tons, cerne davantage la forme pour la porter vers un expressionnisme personnel, moins sauvage que chez les peintres de Laethem-Saint-Martin (Gand). Coloriste et lyrique par nature, il revient vers la fin des années vingt à un fauvisme plus discipliné, d'une intense poésie, privilégiant la nature morte à la fin de sa vie.
Voir les oeuvres + Schoenmakers Piet
(1)
né en 1919 à Ruremonde - mort en 2009 à Aldaar
Peintre, sculpteur, céramiste
Voir les oeuvres + Schollaert Alfred
(1)
né en 1905 - mort en 1987
peintre, pastelliste, portraitiste
Voir les oeuvres + Schouppe Alfred
(1)
né en 1837 à Termonde - mort en 1899 à Bruxelles
Peintre, Dessinateur
Voir les oeuvres + Schouten Henry
(2)
né en 1857 à Indonésie - mort en 1927 à Gand
Peintre d'animaux et de paysages, né en Indonésie. Il se spécialise dans la représentation de volailles. En 1943, la ville de La Haye, en Hollande, organise une exposition de ses œuvres.
Voir les oeuvres + Schouten Paul Henry
(1)
né en 1860 à Paris/France - mort en 1922 à Watermael-Boistfort
Peintre, Demi frère de Henry
Voir les oeuvres + Schwartz Mariette
(1)
né en 1890 à Bruxelles - mort en 1979
Peintre, Aquarelliste
Voir les oeuvres + Schweitzer-Cupana Rudolf
(1)
né en 1886 à Pitesti - mort en 1975 à Bucarest
Peintre, dessinateur, Scène de genre, paysage
Voir les oeuvres + Schweizer Albert
(1)
né en 1885 à Barenwill - mort en 1948
Pzeintre de paysages
Voir les oeuvres + Scoriel Jean-Baptiste
(7)
né en 1883 à Lambusart - mort en 1956 à Tamines
Issu d'une famille d'origine flamande, Scoriel connaîtra de près la vie des foyers de mineurs, avec ses souffrances et ses épreuves. Peintre paysagiste, il pratique essentiellement la peinture à l'huile, et reçoit une formation à l'académie de Namur, de même que les conseils de J.P. Blanche à Honfleur. Il participe aux expositions du Cercle artistique de Bruxelles, au Salon triennal de Namur (1927) et à celui d'Anvers ainsi qu'à l'Art Belge à Luxembourg. En 1959, il expose au palais des beaux-arts de Charleroi. Il peint d'abord les rives de la Sambre verdoyante dans la tradition luministe d'E. Claus. Après la guerre, Scoriel révise sa technique et manifeste un retour au respect de la ligne et de la forme. Il peint la Sambre, les péniches avec beaucoup de justesse et il trouvera sa voie dans des paysages synthétiques solidement construits, lesquels, souvent désertiques, sont cependant imprégnés de la présence humaine. Il habille ensuite les formes d'un cerne noir et enrichit progressivement la matière et la structure. Parfois nommé le peintre du blanc, il se réalisera dans des paysages d'hiver; ses premières neiges témoignent d'une mélancolie poignante, empreintes de pathétique, d'inquiétude et de solitude. D'année en année, ses œuvres s'éclairent et s'apaisent, porteuses d'un message d'espoir et d'optimisme. Au fil du temps, sa palette se nuance, s'affine et s'éclaircit; Scoriel parvient à la conception d'une peinture riche et savoureuse.
Voir les oeuvres + Seeuws Jos
(1)
né en 1912 - mort en 2003
Peintre, aquarelliste, Gouachiste
Voir les oeuvres + Seevagen Lucien
(1)
né en 1887 à Chaumont Haute-Marne - mort en 1959 à île de Bréhat
Peintre d'arechitecture, paysages, paysages urbains, Paysages d'eau, marines, peintre à la gouache, graveur.
Voir les oeuvres + Selva Della Pino
(1)
né en 1904 à Catane - mort en 1991 à Marseille
Peintre, sculpteur, dessinateur, graveur, poète, critique d'art.
Voir les oeuvres + Ser-Mel
(1)
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Sermel Atelier
Sermel atelier papier mâché était situé dans une belle vieille maison en pisé dans le
quartier historique de Tonala, la célèbre ville d'art populaire dans l'Etat mexicain de Jalisco.
Leur style était lumineux et coloré et leurs pièces, en particulier les animaux, ont été peints avec les conceptions traditionnelles qui ont caractérisé l'artisanat pour Tonala.
Histoire
L'atelier a été fondée en 1963 par Sergio Bustamante et Melquiades Preciado, le nom Ser-Mel est une combinaison des trois premières lettres de leurs noms.
Leur œuvres d'art et d'origine a été immédiatement reconnu au Mexique et dans le monde.
En 1972, ils ont remporté la médaille d'or donnée par l'agence d'exportation du gouvernement pour les ventes élevées de leur oeuf design original.
À la fin de 1970 de Sergio Bustamante quitté l'atelier. Melquiades Preciado et ses frères Luis et Fausto conservés en charge de Sermel.
Melquiades, maire et président de la Maison de l'État du Folk Art de Tonala, a consacré sa vie au bien-être de la communauté et de promouvoir les métiers de Jalisco. Après son décès en 1992, ses frères et leurs enfants ont continué à produire leurs pièces jusqu'en Octobre 2013
Voir les oeuvres + Sermon Lucien-Léandre
(2)
né durant milieu du 20ème0
Peintre, Pastelliste, Dessinateur
Voir les oeuvres + Sersté Paul
(4)
né en 1910 à Anderlecht - mort en 2000 à Molenbeek-saint-Jean
Sculpteur
Voir les oeuvres + Servaes Albert
(1)
né en 1883 à Gand - mort en 1966 à Lucerne/Suisse
Dès l'âge de quinze ans, Servaes se consacre à la peinture en amateur. Il travaille à Laethem et à la côte. Il n'entreprend toutefois de véritables études artistiques qu'en 1901, lorsqu'il suit les cours du soir de l'académie de Gand, chez J. Delvin. C'est là qu'il fréquente G. van de Woestyne et F. van den Berghe. En 1904, ce dernier l'invite à partager son atelier de Laethem. La rencontre de G. Minne et de B. Destrée, le frère de l'écrivain et militant socialiste Jules Destrée, l'influence du cercle formé autour de K. et de G. van de Woestijne, ainsi que l'inspiration de la nature sur les bords de la Lys, influencent l'œuvre de Servaes dans le sens d'un approfondissement spirituel. Il se convertit au catholicisme. Après "La Dernière Cène" (1905, coll. priv.), "Au tombeau" (1908, Ostende, P.M.M.K.) et "Les paysans aux champs" (1909, Bruxelles, M.R.B.A.B.) illustrent l'évolution de Servaes vers un style sombre et expressionniste. D'autres toiles importantes leur succèdent : "Sursum Corda" en 1911 (Ostende, P.M.M.K.) et "Intinsus Cordæ" en 1917 (coll. priv.). Durant la Première Guerre mondiale, le peintre demeure fixé à Laethem et remporte un succès grandissant après d'importantes expositions à Gand (Univ., 1913) et à Bruxelles (gal. Giroux, 1914; porte de Namur, 1917). En 1919, Servaes provoque le scandale, et accède donc à la célébrité, grâce à son "Chemin de croix de Luithagen" (quatorze dessins au fusain, Tilburg, abb. de Koningshoeven), violemment expressionniste, qui suscite aussitôt de vives réactions. A partir de 1921, ces polémiques valurent à toutes les œuvres de Servaes d'être bannies pour longtemps des églises et des couvents de Belgique et des Pays-Bas. En 1920, le cycle de toiles consacré à "La vie paysanne" (1916-1920, Anvers, K.M.S.K.) n'en fut pas moins couronné à la biennale de Venise. Au même moment, l'artiste obtenait à la fois l'appui du socialiste Jules Destrée et du philosophe catholique français, Jacques Maritain. Ces succès l'encouragèrent à entreprendre, à partir de 1922, l'exécution d'un nouveau cycle, "La vie de la Vierge à Laethem" (seize scènes), exposé pour la première fois à Gand en 1933, et d'un certain nombre de pièces religieuses isolées, sans rapport avec un cycle particulier (entre autres, des" Chemins de croix"). Consacré par le grand prix de la Peinture belge en 1940 et par une importante exposition à Gand en 1943, Servaes est obligé, pour des raisons politiques, de quitter Laethem pour Munster et Hildesheim en septembre 1944; en mars 1945, il est interné à Bühler en Suisse. Déchu de la nationalité belge en 1947, naturalisé suisse en 1961, il reçoit en 1965 le prix Rembrandt à Salzbourg. Durant sa période suisse (1946-1966), Servaes reste particulièrement productif : son fanatisme pictural se perpétue dans les portraits, les paysages, les cycles de la "Vie de la Vierge" et les diverses versions d'un "Retable suisse de la Vierge", sans que se retrouvent toutefois la grandeur expressive et la profondeur mystique de ses œuvres antérieures.
Voir les oeuvres + Sieron Maurice
(1)
né en 1879 à Saint-Gilles - mort en 1970
Peintre, Pastelliste,Dessinateur
Voir les oeuvres + Simonin Victor
(2)
né en 1877 à Ixelles - mort en 1946
Peintre de fleurs, de natures mortes et de paysages. Il suit simultanément les cours du conservatoire (classe de violon) et les cours du soir de l'académie des beaux-arts de Bruxelles. Un accident à la main gauche l'oriente définitivement vers la peinture. Il fonde avec ses amis A. Bastien, S. Smeers, A. Pinot et M. Wagemans le cercle Le Sillon.
Voir les oeuvres + Sinet Louis René Hippolyte
(2)
né en 1835 à Péronne (somme)
Peintre de genre, Portraits
Voir les oeuvres + Sir Hayter George
(1)
né en 1792 à Londres - mort en 1871 à Londres
Peintre, Graveur
Voir les oeuvres + Slabbinck Rik
(1)
né en 1914 à Bruges - mort en 1991
Peintre, Dessinateur, Artiste Graphique
Voir les oeuvres + Sluiter Willy
(1)
né en 1873 à Amersfoort - mort en 1949
Peintre de genre, graveur.
Voir les oeuvres + Smeers Frans
(5)
né en 1873 à Etterbeek - mort en 1960 à Bruxelles
Peintre et graveur, il représente des marines, des plages animées et des paysages, il est également portraitiste. Etudie à l'académie de Bruxelles (atelier de Portaels). A tout d'abord une activité de décorateur. Prix René Steens (1953). Intérêt pour le réalisme de la Société libre des Beaux-Arts. Membre fondateur du Sillon. Facture réaliste dans les œuvres antérieures à 1900. Remarqué lors de l'achat des "Araignées" (Bruxelles, Mus. Ixelles, 1904). Les œuvres antérieures à 1900 sont proches d'un réalisme dans l'esprit de la Société libre des Beaux-Arts. S'oriente vers un réalisme luministe; après 1900, privilégie le plein air : marines, plages avec enfants. Professeur à l'académie de Bruxelles (1933-1946). Membre de l'Académie de Belgique. Dernière exposition : Petite galerie (1956). Œuvre picturale d'une réelle qualité de facture.
Voir les oeuvres + Smits Marcel
(1)
né en 1888 à Bruxelles
Peintre, dessinateur, aquarelliste.
Voir les oeuvres + Smits Jakob
(2)
né en 1856 à Rotterdam Pays-Bas - mort en 1928 à Achterbos
Peintre, dessinateur, Graveur.
Voir les oeuvres + Somers Francine
(1)
né en 1923 à Gand
Peintre, dessinatrice, médailleur, graveur, orfèvre et sculpteur. Somers doit sa première formation à son père bijoutier orfèvre qui lui enseigne le dessin. Dès l'âge de treize ans, elle étudie à l'académie royale des beaux-arts à Gand où elle recevra la médaille d'or avant de poursuivre des études de sculpture à l'académie d'Etterbeek, l'art du bas-relief à Louvain et la ciselure à l'école des arts et métiers de Bruxelles. Elle réalise de nombreuses expositions tant en Belgique qu'au Congo (Léopoldville, Bukavu et Goma). Lors de l'Exposition universelle de 1958 à Bruxelles, elle réalise une grande fresque au pavillon du Congo. Elle participe également aux expositions internationales de médailles à Paris, Rome, Vienne, La Haye et Athènes. Elle réalise enfin une série de timbres Solidarité en 1966-1967 pour l'administration des postes de Belgique.
Voir les oeuvres + Somville Roger
(2)
né en 1923 à Schaerbeek
Peintre, graphiste, lithographe, Créateur de tapis
Voir les oeuvres + Soubre Charles
(1)
né en 1821 à Liège - mort en 1895
Peintre d'histoire, de portraits et de paysages. Il est l'élève de B. Vieillevoye à l'académie de Liège où il devient lui-même professeur après avoir suivi un temps les cours à l'académie de Bruxelles. Bien dans l'esprit de son temps, ses compositions qui ne manquent pas de grandeur étaient fort prisées. Actuellement elles sont souvent jugées trop théâtrales.
Voir les oeuvres + Souvenir Sonia
(1)
0
Artiste contemporaine . études à Saint Luc bruxelles en bandes dessinées
Voir les oeuvres + Spilliaert Léon
(2)
né en 1881 à Oostende - mort en 1946 à Bruxelles
Pratique l'aquarelle, la gouache, les crayons de couleur, le pastel, l'encre de Chine; mélange ces techniques. Sa meilleure période est antérieure à 1914. Il apparaît alors comme le visionnaire d'une réalité insolite. Il manipule la perspective dans un esprit de synthèse qui frôle l'abstraction géométrique. Il forme charnière entre un symbolisme et un expressionnisme très personnels. Son père tient une parfumerie, La Brise d'Ostende, dont les flacons et les boîtes inspireront l'artiste. 1899-1900, bref et inutile passage à l'académie de Bruges. Se forme seul. 1903-1904, à Bruxelles, employé d'E. Deman, éditeur des symbolistes. Ses goûts littéraires se développent et marquent son travail. Il aime Nietszsche, Lautréamont, Maeterlinck, Verhaeren qui l'encourage à partir de son premier séjour à Paris en 1904 (le poète habite Saint-Cloud). Plus tard, il se liera avec F. Crommelynck, F. Hellens, H. Vandeputte, lequel l'expose dans sa galerie à Paris, et A. Dasnoy. 1909-1913, il participe à Bruxelles aux salons du Printemps, des Indépendants, du Sillon, aux Bleus de la G.G.G. (galerie Georges Giroux). 1916, il épouse Rachel Vergison. 1917, le couple s'installe à Bruxelles; naissance de leur fille unique, Madeleine, passion de son père. 1920-1921, Spilliaert retrouve la mer. Il a conservé des contacts à Paris et s'y rend chaque hiver, demeurant informé de tout. P.G. Van Hecke et A. De Ridder, directeurs de la galerie et de la revue "Sélection" (Bruxelles) qui défendent les expressionnistes flamands, le prennent passagèrement sous contrat. 1922, il expose aussi au Centaure (Bruxelles). Il retourne vivre à Ostende. 1923, premier séjour dans le Midi de la France; d'autres suivront. 1927-1928, Spilliaert dessine pour "Variétés", revue de tendance surréaliste dirigée par P.G. Van Hecke qui a changé d'orientation. Il expose aux Contemporains (Anvers) dont il apprécie l'éclectisme. La mort de son père lui apporte provisoirement la sécurité matérielle. 1929, importante exposition chez Giroux. 1935, il revient vivre à Bruxelles pour Madeleine qui étudie le piano. 1937-1940, membre des Compagnons de l'Art, groupe très libre. Il découvre les Ardennes et s'en éprend; il y séjournera souvent. 1940-1944, vie difficile et résistance passive à l'occupant. 1944, importante exposition au palais des beaux-arts de Bruxelles. Il meurt d'une crise d'angine de poitrine dont il souffrait depuis dix ans. Débutant, il use beaucoup de l'encre de Chine. Ses noirs sont aussi nuancés que ceux de Redon. La seule influence qu'il admet est celle de Toulouse-Lautrec, mais il vénère Ensor et s'est certainement imprégné de l'œuvre graphique de Munch. Comme lui, c'est un nordique. Ses goûts littéraires, ses penchants à la mélancolie et au rêve en font un symboliste. Le mystère habite les vues nocturnes d'Ostende - certaines arcades désertes annoncent Chirico -, les autoportraits angoissés, les natures mortes habitées de plantes vertes, de boîtes, de flacons, d'horloges et de miroirs. Il affectionne les personnages solitaires, souvent de dos, en relation de plaisir ou d'effroi avec la mer. Entre 1909 et 1913, ses silhouettes simplifiées et puissantes de pêcheurs et de femmes de pêcheurs ont influencé Permeke. 1912-1913, époque des grands pastels quasi expressionnistes. Spilliaert déforme en fonction de sa subjectivité. L'ironie pointe. L'économie des moyens et l'esprit de synthèse demeurent prépondérants. Après son mariage, il produit, pour faire vivre sa famille, quantité d'aquarelles et de gouaches prestement enlevées, aux motifs variés, notamment des marines aux tonalités surprenantes, traitées par bandes horizontales. L'inquiétude a cédé à l'humour, à l'intimisme, à la désinvolture souvent excessive. La qualité est inégale. Dans les années vingt, il s'essaie maladroitement à l'huile. 1932, voyage avec sa fille en Autriche, en Suisse, en Italie. Dans ces années, sa production trop hâtive accuse de véritables faiblesses. Il se ressaisit pendant la guerre. Un motif qu'il a toujours aimé - les arbres - s'impose à lui. La calligraphie des branches, mais aussi le mystère païen des sous-bois, l'inspirent. Il use d'une nouvelle technique mariant à l'aquarelle une trame serrée de petits traits à l'encre de Chine, sorte de pointillisme très personnel qu'il pratique avec une patience infinie mais aussi une grande habileté. Farouchement indépendant, il ne s'est lié ni avec une école ni avec un groupe à programme. C'est un isolé qu'entourent seuls quelques amateurs éclairés et fidèles et aussi les poètes qui le comprennent. C'est pourquoi il sera longtemps méconnu du public belge et ignoré à l'étranger. Depuis 1980, quelques grandes expositions, notamment aux U.S.A., en France, au Portugal, en Finlande, en dehors de la Belgique, lui ont néanmoins rendu justice. Sa cote à monté en flèche. Il est extrêmement bien représenté aux musées royaux des beaux-arts de Belgique, ainsi qu'au musée des beaux-arts d'Ostende.
Voir les oeuvres + SPINDLER Charles
(1)
né en 1865 à Boersch (Bas-Rhin) - mort en 1938
Peintre, Aquarelliste, Graveur, Décorateur
Voir les oeuvres + Spiro Eugen
(1)
né en 1874 à Breslau - mort en 1972 à New York
Peintre de genre, portraits, intérieurs, paysages, graveur.
Voir les oeuvres + Spruyt (1) Charles
(1)
né en 1769 à Bruxelles - mort en 1851
Peintre de sujets religieux, d'histoire dans le genre troubadour, de paysages et d'architecture, graveur et lithographe. Elève de son père F. Spruyt à l'académie des beaux-arts de Gand, puis de J.B. Suvée à Paris. Il fit un séjour à Rome de 1815 à 1820. De retour en Belgique, il s'installa définitivement à Bruxelles. Il a régulièrement exposé aux salons nationaux.
Voir les oeuvres + Stache Adolphe
(1)
né en 1823 à Bruxelles - mort en 1862
Peintre de genre et de portraits
Voir les oeuvres + Stacquet Henri
(1)
né en 1838 à Bruxelles - mort en 1906 à Schaerbeek
Peintre aquarelliste.
Voir les oeuvres + Stassinet Jo (Joseph)
(1)
né en 1916 à Saint-Gilles - mort en 1994 à Uccle
Peintre, Aquarelliste, Artiste Graphique
Voir les oeuvres + Steiner Léonhard
(1)
né en 1836 à Zurich - mort en 1920 à Zurich
Ecole Suisse. Peintre de paysages.
Voir les oeuvres + Sterpin Paul
(4)
né en 1873 à spy - mort en 1952 à Bruxelles
Peintre de paysages de la Campine et du Brabant, mais surtout de la Meuse, de Namur et de Dinant. Elève de J. Impens à l'académie de Saint-Josse-ten-Noode. Influencé par les impressionnistes de l'école de Tervueren. Fondateur avec M. des Ombiaux de la Fédération des Artistes wallons. Avec une pâte veloutée, il évoque une nature idéalisée, de grands paysages calmes, la poésie des sites de la Meuse et de la Semois. Il a exposé à Charleroi, Namur, Bruxelles et Ixelles.
Voir les oeuvres + STEVENS Gustav Max
(2)
né en 1871 à Saint-Josse-Ten-Noode - mort en 1946 à Bruxelles
Peintre, graveur, pastelliste, lithographe, créateur d'affiches
Voir les oeuvres + Stevens Joseph
(1)
né en 1816 à Bruxelles - mort en 1892 à Bruxelles
Peintre animalier. Graveur. Frère d'Alfred Stevens, peintre également et d'Arthur Stevens, critique d'art. Stevens était issu d'un milieu aisé et amateur d'art. Son père, passionné de peinture et collectionneur de tableaux - entre autres de T. Géricault - désirait voir ses fils embrasser la carrière artistique. J. Stevens apprit le dessin à l'académie de Bruxelles (1833-1835) et auprès du peintre animalier L. Robbe, mais c'est en autodidacte qu'il semble avoir appris à peindre. A partir de 1852, il fit de nombreux et longs séjours à Paris, où son "Supplice de Tantale" (Paris, Mus. d'Orsay) avait été remarqué au salon de 1851. En 1869, il revint définitivement à Bruxelles. Dès ses débuts au salon de Bruxelles en 1842, il consacra sa peinture pour l'essentiel aux chiens. Dans un premier temps prévalut un sentimentalisme larmoyant en accord avec l'esprit romantique du temps. Mais progressivement il s'attacha à traduire avec vérité la psychologie animale. Réalisé vers 1853, apprécié par G. Courbet et loué par le romancier réaliste Léon Cladel, l'"Episode du marché aux chiens" (Bruxelles, M.R.B.A.B.) montre que Stevens a renoncé à l'anecdotisme doucereux de ses débuts. Peignant "le chien crotté, le chien pauvre, le chien sans domicile, le chien flâneur, le chien saltimbanque" (Baudelaire, "Les bons chiens", poème dédié au peintre et publié en 1869), il évoque la pauvreté, la détresse du monde qui l'entoure. Sa facture libre, tantôt lisse, tantôt rugueuse, rend parfaitement la texture variée des pelages et contribue à donner vie à ses "portraits" de chiens. Stevens fait figure de précurseur du réalisme en Belgique. En 1868, il fut l'un des membres fondateurs de la Société libre des Beaux-Arts.
Voir les oeuvres + Stiénon du pré Coroline
(1)
né en 1883 à Gand - mort en 1979
Femme du compositeur Fred Stienon du Pré, elle suivit les cours de F. Willaert. De 1909 à 1956, elle peint des fleurs, des paysages, des portraits et des scènes urbaines de facture impressionniste. Elle est la grand-mère du peintre H. Stienon du Pré.
Voir les oeuvres + Stievenart Fernand
(1)
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Peintre Graphiste. Originaire de Douai. S'installe à Bruxxelles en 1900.Peintre de marines, de scènes rurales, de paysages.
Voir les oeuvres + Stobbaerts Jan (Jean-Baptiste)
(1)
né en 1838 à Anvers - mort en 1914 à Bruxelles
Peintre, Graveur
Voir les oeuvres + Stobbaerts Marcel
(1)
né en 1899 à Foret - mort en 1979 à Etterbeek
Peintre
Voir les oeuvres + Stobbaerts Pieter
(7)
né en 1865 à Bruxelles - mort en 1948
Peintre de scènes de genre, d'intérieurs, de paysages et de vues d'étables. Ce cousin de Jan Stobbaerts a été formé par Portaels à l'académie royale des beaux-arts de Bruxelles (1879-1890). Exposera aux salons triennaux. Sa peinture réaliste s'inspire des paysages flamands et brabançons. Tempérament de coloriste et souci des matières.
Voir les oeuvres + Stoffyn paul
(1)
né en 1884 à Bruxelles - mort en 1945 à Foret
Sculpteur
Voir les oeuvres + Storms Edouard (dit Bompa)
(1)
né en 1905 à Anvers - mort en 1992 à Bornem
Peintre
Voir les oeuvres + STREBELLE Jean-Marie
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né en 1916 à Ixelles - mort en 1989 à Braine-L'alleud
Peintre, dessinateur et décorateur. Etudie la peinture monumentale à l'E.N.S.A.V. (La Cambre) de Bruxelles chez A. Carte, H. Theirlinck et E. de Saedeleer. Marin de 1932 à 1946, il est engagé dans la marine américaine pendant la Deuxième Guerre mondiale. Il obtiendra deux fois le premier prix des Peintres de la Mer à New York. Sa première exposition a lieu en 1938 au palais des beaux-arts de Bruxelles. En 1946, il crée le Phalanstère de Torhout avec ses frères Claude et Olivier ainsi que C. de Brouckère. Il participe à la biennale de Venise (1960). Il illustre en 1987 "Le vieil homme et la mer" d'E. Hemingway. Son œuvre picturale comprend des marines, des paysages ainsi que des images de femmes, qu'il traduit "avec une passion cruelle et tendre..." Mais son assurance lui vient surtout de la fermeté de son style. Le style, il l'a inné. Aussi peut-il se permettre beaucoup d'abandon. (A. Dasnoy, 1978). J.M. Strebelle est lauréat du prix Louis Schmidt.
Voir les oeuvres + Strebelle Rodolphe
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né en 1880 à Tournai - mort en 1959 à Uccle
Peintre, artiste graphique, créateur de carton de tapis et de vitaux
Voir les oeuvres + Strock Joseph-Germain
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né en 1965 à Beaufort - mort en 1923 à Luxembourg
Voir les oeuvres + Stuyts Lucien
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né en 1879 à Anvers - mort en 1962 à Kalmthout
Peintre
Voir les oeuvres + Surtel Paul
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né en 1893 à Reuilly - mort en 1985 à Carpentres
Peintre de l'école prvençale
Voir les oeuvres + Svabinsky Max
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né en 1873 à Kremsier - mort en 1962
Peintre de scènes de genre, portraits, natures mortes, fleurs, aquarelliste
Voir les oeuvres + Swingedau Igor Albert
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né en 1939 à Ixelles - mort en 2008
Peintre, dessinateur, artiste plastique
Voir les oeuvres + Swyncop Charles
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né en 1895 à Bruxelles - mort en 1970
Peintre de portraits, figures, vues urbaines, paysages, marines. Ce frère de P. Swyncop étudie à l'académie de Bruxelles (1908-1920) chez Delville et Richir. Débute en collaborant avec Bastien au Panorama de l'Yser. Expose au salon triennal de Gand (1933). Des voyages à Rome, Venise et au Pays basque lui inspirent des toiles traitées en harmonies claires. Porte un intérêt à l'art du portrait.
Voir les oeuvres + Swyncop Philippe
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né en 1878 à Bruxelles - mort en 1949 à Saint-Gilles
Peintre de portraits, de figures, de paysages et de natures mortes. Egalement aquafortiste et affichiste. Frère de C. Swyncop. Elève de J. Portaels et C. Montald à l'académie des beaux-arts de Bruxelles. Il travaille en France, en Italie et surtout en Espagne. Issu d'un milieu modeste, il fait preuve d'un talent précoce en remportant à huit ans le premier prix des écoles primaires. Devient l'ami d'A. Bastien, F. Smeers et M. Wagemans avec lesquels il séjourne à Paris et à Londres, vivant notamment de petits travaux de décoration. Obtient en 1900 le prix Godecharle pour sa toile Jeunes filles de Sparte s'exerçant à la lutte ; voyage alors en Italie (Milan, Venise, Rome, Florence, Naples) et en Espagne (Madrid, Séville, Grenade). Membre du cercle Le Sillon. Participe sous la direction d'A. Bastien au Panorama du Congo pour l'Exposition Universelle de Gand en 1913, au côté de P. Mathieu et de A. Apol. Pendant la Première Guerre Mondiale, Ph. Swyncop réalise une série de caricatures de soldats allemands qui aurait pu lui valoir quelques ennuis avec les autorités d'occupation si son ami l'ambassadeur américain B. Whitlock n'avait pas dissimulé ces dessins à plusieurs reprises. Après l'armistice, retourne en Espagne et y séjourne pendant une douzaine d'années, à Grenade principalement. A Bruxelles, expose notamment au Musée d'art Moderne avec le cercle Le Sillon entre 1900 et 1909, à la galerie Boigelot (1921), au Centre Artistique et Littéraire (1926), aux Galeries des Artistes Français (1929), aux Galeries de l'Art Belge au côté de H. Thomas (1940). Expose également au salon de Gand (1902), à Anvers (1905) et à Mons au salon du cercle Le Bon Vouloir (1922). Illustre plusieurs ouvrages pour les Éditions du Nord, notamment La femme nue de Goya de V. Blasco Ibanez (1929), Salammbô de G. Flaubert (1931), La femme et le pantin de P. Louys (1936) et L'empreinte du Dieu de M. van der Meersch (1951). Réalise plusieurs affiches dont celle de l'exposition annuelle du cercle Le Sillon (1901) ainsi que pour des spectacles (Les Morphinomanes de R. Maillard, La fille Elisa de J. Ajalbert). Dessine également des caricatures pour l'hebdomadaire Pourquoi pas ?. A ses débuts et jusque vers 1924, Ph. Swyncop peint surtout des paysages de villes (Venise, Bruxelles, Paris), des natures mortes qui privilégient les effets de matières (verre, tissus) ainsi que des portraits de membres de la haute société bruxelloise où le détail des vêtements et du mobilier environnant prend une importance particulière. Dans certaines de ses œuvres est alors décelable l'influence du groupe dit des " Flamands " du cercle Le Sillon, qui privilégie les couleurs de l'ancienne palette romantique en réaction à la peinture claire popularisée par l'impressionnisme. Ses séjours en Espagne marquent considérablement son travail : dans les années 1920-1930 il peint ainsi d'innombrables portraits d'élégantes espagnoles, œuvres dont la belle qualité confirme son talent de portraitiste mais dont l'abondance a sans doute nuit à sa réputation. Le critique L. Dumont-Wilden le décrit " … abondant, facile, dessinateur, plein de verve et d'esprit, coloriste éclatant, heureux de vivre, heureux de peindre ... " (L'art Belge, février 1935).@@@Jean-Pierre Legendre@@@Conservateur en chef du Patrimoine@@@Direction Régionale des Affaires Culturelles de Lorraine@@@6, place de Chambre@@@57000 Metz@@@France@@@
Voir les oeuvres + Sybrands Wilfried
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né en 1912 à Gand - mort en 1991 à Blankenberge
Peintre, Aquarelliste, Artiste graphique
Voir les oeuvres + Synave Jacques
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né en 1933 à Afrique - mort en 2019 à
Peintre irréaliste
Voir les oeuvres + Sünnen Joseph (jos)
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né en 1894 à Bech-Maacher - mort en 1964 à Esch-sur-Alzette
Peintre , sculpteur